F.A.Q. IA et éco-ingénierie : questions essentielles .
Huit questions clés pour comprendre l'articulation entre intelligence artificielle et éco-ingénierie, dépasser les mythes, mesurer l'empreinte, fixer des limites, distinguer usages utiles des futiles et passer de la connaissance à l'action responsable, vers une sobriété numérique et une gouvernance.

Vers une IA sobre : conditions d'une alliance improbable.
Cet article explore comment l'IA pourrait contribuer à la sobriété plutôt qu'à la surconsommation numérique. Il identifie les tensions structurelles entre calcul et limites planétaires, puis analyse les leviers économiques, techniques et politiques nécessaires à une convergence durable réelle.

IA et éco-ingénierie : les noces impossibles ?
L'intelligence artificielle et l'éco-ingénierie incarnent deux visions opposées de la technique : l'une maximise, l'autre optimise. Là où l'IA cherche puissance, universalité et vitesse, l'éco-ingénierie revendique sobriété, contextualisation et temporalité longue.

L'éco-ingénierie : l'intelligence du juste nécessaire.
L'éco-ingénierie propose une refondation de la technique : concevoir dès l'origine avec la nature plutôt que contre elle. Biomimétisme, sobriété fonctionnelle et pensée systémique dessinent une ingénierie du juste nécessaire, compatible avec les limites planétaires et les cycles du vivant.

L'intelligence artificielle : démystifier la machine à calculer qui bouleverse le monde.
Une analyse approfondie de l’intelligence artificielle, entre mythe et réalité : ni conscience ni raison, mais puissance de corrélation. L’article dévoile ses principes, ses limites et les enjeux éthiques, énergétiques et politiques d’une technologie miroir de nos intentions.